Letribunal a tout de mĂȘme reconnu le jeune coupable et lâa condamnĂ© Ă deux mois de prison assortis dâun sursis simple, et lâobligation de reverser les 569,75 ⏠à la victime. Marie
Le06 août 2022 à 03:04:03 :Le 06 août 2022 à 03 - page 18 - Topic ALEX JONES est FINITO : Amende de 45 MILLIONS de DOLLARS A PAYER pour
LeM23 réfute les conclusions du rapport de l'ONU paru jeudi 4 août, à savoir que le mouvement rebelle a reçu un soutien de l'armée rwandaise sur le sol congolais, de novembre à juin derniers. Les précisions de Lawrence Kanyuka, porte-parole de la branche politique du groupe armé. Lawrence Kanyuka, porte-parole de la branche politique du groupe armé, estime qu'il
26avril 2010 / Marie Laure FouchĂ©. Supposons que vous venez dâĂȘtre condamnĂ©, et quâil sâagit dâune dĂ©cision dĂ©finitive (soit que les dĂ©lais de recours soient Ă©coulĂ©s, soit que vous nâayez pas lâintention de faire un recours). Il convient donc de rĂ©gler le montant des condamnations, et votre adversaire peut vous y
Stickersavec des millions de designs au choix sur le thÚme Ne Peux Pas Payer, créés et vendus par
Vay Tiá»n TráșŁ GĂłp Theo ThĂĄng Chá» Cáș§n Cmnd Há» Trợ Nợ Xáș„u. > PĂ©nal > DĂ©lits > Autres peines PostĂ© le Le 18/02/2022 Ă 1654 Bonjour, Sous GHB, opiacĂ© et valium je vous Ă©pargne les circonstances de ma dĂ©fense ce n'est pas moi qui ait recuperĂ© l'argent sur mon compte et j'ai Ă©tĂ© violĂ©e mais le juge dit que c'est une autre affaire et je suis en attente pour cela j'ai escroquĂ© en ligne en 2020 une personne elle m'a fait un virement je n'ai rien envoyĂ©. La somme est de 400 euros. En 2022 je viens d'avoir une audience j'ai reçu 2 mois de sursis et condamnĂ© Ă payer 400 euros Ă la partie civile donc la personne elle demandait 5200 euros mais cela a Ă©tĂ© dĂ©boutĂ© . Je n'ai aucun argent, je vis chez mes parents, j'Ă©tais majeure et en deuil quand c'est arrivĂ©, dĂ©sormais je suis Ă©tudiante je n'ai aucun bien. Mon avocat m'a dit que je n'ai rien Ă faire, cela coutera plus chere a la partie civile de mandater un huissier pour me forcer Ă payer, mais meme avec un huissier je ne pourrais pas payer. Il me reste 4 ans d'Ă©tudes, est-ce que si par exemple dans 4 ans je travaille et j'ai mon premier salaire on peut me "punir" et demander indemnitĂ© ou prelement auto sur mon compte ou cela peut ne pas aller plus loin ? Merci par avance bien cordialement PostĂ© le Le 19/02/2022 Ă 0811 aucuns membres de votre famille ne peuvent vous prĂȘter les 400 euros ? PostĂ© le Le 19/02/2022 Ă 0856 Non, je n'ai que mes parents ils sont endettĂ©s pour finir la maison. J'ai payĂ© 1000e l'avocat pour avoir cette peine rĂ©duite et pour avoir ces 1000e j'ai deja dĂ» coucher avec un prof de CM de SHS pour qu'il me donne l'argent je ne veux plus jamais ça je veux que ce soit derriere moi, finir mes etudes je n'ai meme pas les fonds pour un echĂ©ancier meme sur 5 ans. Si je demande c'est que je peux pas avoir l'argent. Je suis en double cursus donc non je ne peux pas travailler. Ma question initiale c'est si je vis ma vie, on ne peut pas me prendre ce que je n'ai pas. Alors ils vont avoir 30% de la somme du service d'indemnisation victime je suppose et le reste ? Je dois m'inquieter de quoi ? Mon avocat me dit de ne rien faire qu'ils ne pourront rien me prendre vu ma situation ben ok mais dans 3 ou 4 ans quand j'aurai mon premier salaire imaginons apres mes etudes ça va pas me retomber dessus avec des indemnitĂ©s multipliĂ©es ? PostĂ© le Le 19/02/2022 Ă 0907 Bonjour, Oui, si votre crĂ©ancier ne veut pas lĂącher, le jugement sera toujours exĂ©cutable, un huissier pourra saisir le compte bancaire, votre voiture, vos meubles, vos salaires etc..les intĂ©rĂȘts et autres frais auront augmentĂ© sĂ©rieusement la de justice en retraite. PostĂ© le Le 19/02/2022 Ă 0952 Pourquoi personne ne lit les questions jusqu'au bout ? Je n'ai pas de voiture j'en ai pas de permis je n'ai pas de meubles je n'ai pas de compte bancaire je ne suis pas solvable. J'ai appelĂ© le tribunal j'ai pu avoir le juge d'exĂ©cution des peines ce n'est pas une amende donc il n'y aura pas de majoration comme vous le dites la somme ne monteras donc jamais puisque leur demande de dommages et intĂ©rĂȘts a dĂ©jĂ Ă©tĂ© dĂ©boutĂ© par le juge. N'Ă©tant pas solvable les victimes vont devoir se rĂ©fĂ©rer au service d'indemnisation d'aide aux victimes et d'autres dĂ©partementaux. Il m'a confirmĂ© que le jugement est appliquĂ©, si la victime veux faire appel Ă un huissier cela lui coĂ»tera plus cher car encore une fois je ne suis pas solvable et il m'a tout simplement dit que aprĂšs mon M2 la partie civile ne va pas courir aprĂšs 400 ⏠au bout de 5 ans je le cite . Donc je suis soulagĂ©e je vais tout simplement finir mon sursis et effacer la ligne du fichier B de mon casier pour mes concours administratifs et sĂ©curitĂ© au bout de 6 mois comme le procureur me l'a dit. Mes parents ne risque rien non plus puisque j'Ă©tais majeur donc je suis simplement logĂ©e et je n'ai aucun biens. Le sujet visiblement clos sauf si quelqu'un a des informations complĂ©mentaires d'un point de vue juridique. PostĂ© le Le 19/02/2022 Ă 1654 Pourquoi personne ne lit les questions jusqu'au bout ? Je n'ai pas de voiture j'en ai pas de permis je n'ai pas de meubles je n'ai pas de compte bancaire je ne suis pas solvable. Je rĂ©pond Ă votre question sur l'avenir, dans quelques annĂ©es vous aurez un boulot, un salaire, un compte en banque et peut ĂȘtre une de justice en retraite. PostĂ© le Le 19/02/2022 Ă 1935 Justement je pensais venir pour des renseignements et ce que vous dites ce n'est pas le cas selon le bureau d'exĂ©cution des peines que j'ai appelĂ© car ce n'est pas une amende il y a pas de majoration. Non solvable = non remboursable par le condamnĂ©, avec apartĂ© de non rentabilitĂ© SI la partie civile engagĂ© un huissier mĂȘme dans 5 ans aprĂšs la partie civile s'attendait Ă sortir avec une condamnation de ma personne Ă devoir lui donner plusieurs milliers d'euros mais le juge Ă notĂ© la totale injustification du prĂ©judice et pour cette somme comme j'ai dit il y a des recours avec des fonds commun pour les victimes surtout pour les trĂšs petites sommes. J'avais postĂ© ma question en soirĂ©e je me suis renseignĂ© en journĂ©e auprĂšs de plusieurs juristes et mĂȘme du tribunal qui m'a condamnĂ©e et voilĂ ce qui en est ressorti. Merci quand mĂȘme Nos juristes bĂ©nĂ©voles rĂ©pondent Ă toutes vos questions juridiques - 100% Gratuit
Francis, saoul, dans la rue Mathieu MĂ©ron. Palais de justice de Paris, 14e chambre correctionnelle. La suite aprĂšs la publicitĂ© Lâaffaire qui nous occupe amĂšne Ă la barre un grand Martiniquais en habits de cocktail. Son escorte, sagement assise, le suit du regard sans piper mot. Le plaignant, un adolescent de 15 ans, ne sâest pas prĂ©sentĂ©. Je comprends que la femme aux cheveux gris est la mĂšre de la jeune victime. On vous reproche dâavoir, Ă Paris, commis des violences sur la personne de David, ĂągĂ© de 15 ans. Reconnaissez-vous les faits ? », demande dâabord le prĂ©sident, dont les lustres se reflĂštent sur le crĂąne lisse. Oui, jâassume », rĂ©pond Francis, 30 ans. Lâhomme a un passĂ© ; rien de trop grave mais lâalcool lui joue des tours. DĂ©couvrant son casier, le prĂ©sident Faites gaffe avec la conduite vous, hein ? ». Ouais, câest fini... », rĂ©torque Francis avec un clin dâĆil malicieux. Les faits sont simples et reconnus. Il est prĂšs de minuit quand Francis sort de chez des amis aprĂšs avoir bu sept ou huit verres de vodka. Dans son ivresse [0,93 mg/litre dâair expirĂ©], lâhomme a Ă©garĂ© ses papiers ; il est colĂšre. Il vadrouille par les rues un moment et, arrivĂ© Ă la Porte de Versailles, il se roule un joint. La suite aprĂšs la publicitĂ© A quelques encablures, David, un passionnĂ© de mĂ©canique, sâoccupe de son scooter. Sans rien voir venir, David reçoit un furieux coup de poing dans la bouche qui lâenvoie au tapis. CâĂ©tait juste un coup de poing, quoi » Devant moi, la mĂšre agite le bras en direction de la procureure. Vous ĂȘtes la mĂšre ? », demande cette derniĂšre, en pointant son index baguĂ©. Approchez, madame », ordonne le prĂ©sident. La femme avance craintivement dans la petite nef, en serrant sa droite pour ĂȘtre le plus loin possible de lâagresseur de son fils. Vous savez, il a eu peur de venir, peur des consĂ©quences », susurre-t-elle. â Oh non. Non, faut pas », interrompt Francis, honteux, et puis je nâavais pas lâintention de porter dâautres coups. Sur le moment, un peu bourrĂ©, câĂ©tait juste un coup de poing, quoi ». â David a eu la lĂšvre un peu enflĂ©e », et rĂ©clame 1 000 euros de prĂ©judice. Francis et la mĂšre de David se rassoient. La suite aprĂšs la publicitĂ© Francis, saoul, frappe David, ĂągĂ© de 15 ans Mathieu MĂ©ron. Plus on frappe fort, plus on est fou » La procureure, une grande cigogne, commence son rĂ©quisitoire sur le ton de lâindignation Mais oĂč sommes-nous ? » Silence. Vous ĂȘtes ivre mort, contrariĂ©, mais vous avez suffisamment dâesprit pour vouloir vous en prendre Ă un jeune de 15 ans, absent aujourdâhui. Parce quâĂ 15 ans, on a le droit dâavoir peur ! » Lâhomme fronce les sourcils. Elle poursuit La suite aprĂšs la publicitĂ© Monsieur le prĂ©sident faisait remarquer quâil nây avait pas dâexpertise psychiatrique dans votre dossier et que cela posait un vĂ©ritable problĂšme. Evidemment, les psys, câest rĂ©servĂ© aux dĂ©linquants vous comprenez, plus on frappe fort, plus on est fou et plus on a le droit Ă un psy. Les victimes, elles nâont que leurs parents... » La procureure requiert une peine dâemprisonnement de deux mois assortie dâun sursis de cinq ans et une amende de 750 euros. Le prĂ©venu sâadresse Ă la mĂšre de David, une main sur le cĆur Jâaurais voulu mâexcuser en face. Je ne prends pas ça Ă la lĂ©gĂšre. » La mĂšre lâĂ©coute bouche bĂ©e, les mains derriĂšre le dos. Je peux faire un Ă©chĂ©ancier ? » Le prĂ©sident Ă©crit quelque chose â son jugement â et demande Ă Francis de se lever. Il le taquine encore Bon, on va pas vous mettre un suivi avec lâalcool mais enfin, faites attention ! Alors vous ĂȘtes condamnĂ© Ă une peine de deux mois de sursis, auxquels sâadditionnent 750 euros de dommages et intĂ©rĂȘts et 750 euros dâamende, plus 90 euros de frais de justice. » Un peu sonnĂ© par la hausse soudaine du cours du coup de poing, il demande 1 500 ? »La suite aprĂšs la publicitĂ© â Oui, et vous avez intĂ©rĂȘt Ă payer, dâaccord ? » â Et je peux faire un Ă©chĂ©ancier ? », sâinquiĂšte Francis. Le prĂ©sident, bonhomme, prĂ©cise au Martiniquais Bien Ă©videmment, tout est dĂ©taillĂ© sur le site du ministĂšre de la Justice, rassurez-vous. Alors câest »
L'article 37 de la loi du 10 juillet 1991 n'est pas nĂ©cessaire connu de tous les avocats. DĂ©jĂ , cela suppose que cet avocat accepte d'ĂȘtre rĂ©munĂ©rĂ© Ă ce titre, ce qui Ă©carte pas mal de confrĂšres. Il est vrai que pour un avocat ayant une structure Ă faire vivre, l'aide juridictionnelle n'est pas trĂšs intĂ©ressante. Ce n'est pas le dĂ©bat, mais l'aide juridictionnelle est juste la possibilitĂ© pour un avocat de travailler Ă perte. A cet Ă©gard, je n'ai jamais bien compris pour quelles raisons un commerçant ne peut vendre Ă perte, alors que cela ne pose de problĂšmes Ă personne qu'un prestataire de services en fassent de mĂȘme... Mais je m'Ă©loigne du sujet ! En l'espĂšce, les juges d'appel avait condamnĂ© la partie succombante, bĂ©nĂ©ficiaire de l'AJ, Ă payer une indemnitĂ© Ă l'avocat de l'autre partie. C'est cela l'article 37 l'avocat d'une partie bĂ©nĂ©ficiaire de l'AJ peut demander condamnation de l'autre Ă payer une indemnitĂ©. Il s'agissait ici de 2000 euros. Imaginons un procĂšs contre une banque, il peut alors ĂȘtre intĂ©ressant d'accepter d'intervenir Ă l'AJ, dans l'espoir d'augmenter la rĂ©munĂ©ration par le biais de cet article 37. Il faut juste penser Ă faire cette demande. Mais dans notre affaire, les deux parties bĂ©nĂ©ficiaient de l'AJ. Ainsi, un bĂ©nĂ©ficiaire de l'AJ Ă©tait condamnĂ© Ă payer 2000 euros. Il est aisĂ© de comprendre l'impact de cette condamnation sur une partie dont la situation financiĂšre avait justifiĂ© le bĂ©nĂ©fice de l'AJ. Sans grande surprise, la Cour d'appel se fait casser, au motif qu'un bĂ©nĂ©ficiaire de l'aide juridictionnelle ne peut pas ĂȘtre condamnĂ© Ă payer l'avocat d'une partie elle-mĂȘme bĂ©nĂ©ficiaire de l'aide juridictionnelle Civ. 2e, 6 sept. 2018, n° 17-20109. C'est une cassation sans renvoi, la Cour de cassation qui efface la condamnation au titre de l'article 37.
condamné a payer mais je ne peux pas