AprĂšsle dĂ©cĂšs d'une personne ĂągĂ©e, les enfants ne sont pas tenus de payer Ă la maison de retraite des dettes qui ne sont pas "alimentaires". La Cour de cassation a rejetĂ©, selon ce principe, la demande dâun Ă©tablissement qui rĂ©clamait le paiement de communications tĂ©lĂ©phoniques et dâun forfait journalier. La maison de retraite
Nejamais conserver ses vieilles crÚmes solaires. En attendant que la réglementation évolue, deux conseils : privilégier des écrans solaires sans octocrylÚne et sans benzophénone, comme les crÚmes minérales et surtout, ne pas les conserver plus de quelques mois. Pour le Dr Christine Lafforgue dermo-pharmacologue, "On ne garde pas sa
PrĂ©venir un cadre prĂ©sent ou un cadre de garde qui informera le directeur de garde. â Le directeur de garde prĂ©viendra la police ou la gendarmerie . â En dehors des actes nĂ©cessaires au secours Ă personne, Ă©viter de dĂ©placer ou toucher quoi que ce soit avant lâarrivĂ©e de la police sur la scĂšne de crime. Le corps doit ĂȘtre laissĂ© en lâĂ©tat : pas de toilette mortuaire
Combiende temps peut-on garder un vĂȘtement avant de le mettre en machine ?
Afinde conserver le corps pendant les six jours prĂ©cĂ©dant l'inhumation ou la crĂ©mation, des soins de conservation sont pratiquĂ©s sur le corps par les services extĂ©rieurs des pompes funĂšbres (n'appartenant pas Ă l'Ăglise). Ils sont par consĂ©quent rĂ©servĂ©s Ă des thanatopracteurs diplĂŽmĂ©s et habilitĂ©s par le prĂ©fet.
Dá»ch VỄ Há» Trợ Vay Tiá»n Nhanh 1s. âą Que risquent les hĂ©ritiers s'ils ne paient pas rapidement? - Des pĂ©nalitĂ©s de retard de 0,4% par mois dĂšs le septiĂšme mois aprĂšs le dĂ©cĂšs. Et si la dĂ©claration nâa pas Ă©tĂ© dĂ©posĂ©e au bout dâun an, les droits de succession sont majorĂ©s de 10%. - Pire, le fisc peut, sâil a Ă©tĂ© informĂ© du dĂ©cĂšs, mettre en demeure les hĂ©ritiers retardataires de faire leur dĂ©claration. Sâils nâobtempĂšrent pas dans les 90jours, lâamende reprĂ©sente 40% des droits. Et lâadministration nâaccordera ni dĂ©rogation ni dĂ©lai supplĂ©mentaire sous prĂ©texte quâun seul des hĂ©ritiers est responsable du retard. âą Mais si l'hĂ©ritier refuse de payer les droits de succession? - Sâil y a assez dâargent sur les comptes du dĂ©funt, les hĂ©ritiers ont le droit de sâen servir pour payer, mĂȘme si lâun dâeux nâest pas dâ Sinon, ils peuvent aussi rĂ©gler les droits de leur poche. Ce faisant, ils financent aussi ceux dus par lâhĂ©ritier rĂ©fractaire. Mais ce nâest quâune avance les droits quâil aurait dĂ» payer seront dĂ©duits de sa part au moment du partage et de la rĂ©partition des biens. - Le problĂšme se complique si la seule solution, pour payer les droits, est de vendre tout ou partie des biens du dĂ©funt. Pour cela, lâaccord de chacun des hĂ©ritiers est nĂ©cessaire. Si lâun dâeux sâobstine Ă refuser, les autres doivent tenter Ă tout prix de trouver une solution amiable avec lui.
Caroline, Marika et Lionel ont un point commun ils ont tous les trois placĂ© un de leurs proches dans une maison de retraite. Le premier soir, au moment de laisser leur parent entre des mains Ă©trangĂšres, ils ont tous senti une boule au ventre. Quâont-ils fait de cette sensation d'avoir dâabandonnĂ© quelqu'un, de cette culpabilitĂ© ? On leur a demandĂ©. Caroline sâen voudra toujours Dans la famille de Caroline, lâhistoire se rĂ©pĂšte comme le refrain dâune mauvaise chanson. Chez elle, lâĂąge venant, les femmes perdent la tĂȘte La suite aprĂšs la publicitĂ© "Du cĂŽtĂ© de ma mĂšre, toutes les femmes ont terminĂ© dĂ©mentes ou Alzheimer. A la fin, aucune dâentre elles ne pouvait rester seule. Câest arrivĂ© Ă ma grand-mĂšre quand jâavais 16 ans. On a essayĂ© de la prendre Ă la maison et jâen garde des souvenirs traumatisants. Une dame que tu as connue digne toute ta vie, quand tu la vois se tripoter ou pisser sous la table de la cuisine, ça fait un choc."La quadragĂ©naire parisienne se souvient du placement de sa grand-mĂšre en maison de retraite, et parle de l'angoisse Ă©crasante qu'elle a ressentie quand elle a vu que sa mĂšre dĂ©rapait Ă son tour. "Quand jâai vu que ma mĂšre dĂ©rapait, je me suis automatiquement projetĂ©e. Dâun seul coup, câĂ©tait clair que jâĂ©tais la prochaine sur la liste."Mais Caroline prend son rĂŽle de fille Ă bras le corps. Elle fait venir deux auxiliaires de vie, qui se relaient auprĂšs de sa mĂšre 24h/24. "Au bout dâun certain temps, jâai dĂ©couvert quâelle Ă©tait maltraitĂ©e", confie-t-elle. Claudine est couverte de bleus. Caroline va voir la police. Circulez, madame, vous ne pouvez rien prouver. "JâĂ©tais folle furieuse dâĂȘtre aussi impuissante. Mais le pire, dans tout ça, câest quâune partie de toi se prend Ă comprendre la violence quâon peut avoir envie de dĂ©ployer face Ă ton proche. Parce quâune personne dĂ©mente, ça peut ĂȘtre extrĂȘmement pĂ©nible."Claudine est hospitalisĂ©e, les neurologues insistent pour quâelle soit dĂ©sormais placĂ©e en maison de retraite. "En mĂȘme temps, si on lâavait prise Ă la maison, on y aurait laissĂ© notre santĂ© mentale", explique Caroline. Avec son mari, elle tombe sur un Ă©tablissement cher et luxueux situĂ© pas loin de chez eux. DeuxiĂšme mĂ©saventure La suite aprĂšs la publicitĂ© "Ce qui mâa semblĂ© bizarre, câest que la mauvaise santĂ© de ma mĂšre ne les a pas inquiĂ©tĂ©s du tout. On aurait dĂ» se mĂ©fier quand ils ont acceptĂ© que lâon signe les papiers dâentrĂ©e Ă sa place."Claudine intĂšgre cette maison de retraite et rapidement, les soignants sont dĂ©passĂ©s, incapables de sâoccuper dâelle. Caroline est appelĂ©e constamment pour venir donner un coup de main. Un jour, alors quâelle entre dans la chambre de sa mĂšre, celle-ci est introuvable "Jâai demandĂ© oĂč elle Ă©tait. On mâa rĂ©pondu quâelle avait frappĂ© un autre rĂ©sident alors ils lâavaient envoyĂ©e en hĂŽpital psy, sans mâen parler. Il mâa fallu deux jours pour savoir oĂč elle Ă©tait et la rĂ©cupĂ©rer."Claudine est morte environ une semaine plus tard, en septembre dernier, dans une structure spĂ©cialisĂ©e. Depuis, Caroline sâen veut. Marika refuse de culpabiliser Un jour, Marika a fait une promesse Ă Elise, sa grand-mĂšre. De ces phrases courtes qui engagent pour le temps qu'il reste Ă vivre. Elle a dit "Je ferai ce que je peux pour te garder chez toi jusquâau bout."Sous-entendu "Je ne te placerai en maison de retraite que quand tu seras devenue dangereuse pour toi-mĂȘme, ou pour les autres."La suite aprĂšs la publicitĂ© Ce jour a fini par arriver lâannĂ©e oĂč sa grand-mĂšre a fĂȘtĂ© ses 96 ans. "Le truc qui mâa fait comprendre que je prenais lâascendant sur ma grand-mĂšre, que je devenais le parent et elle lâenfant, câest que je me suis mise Ă gagner au Scrabble. En temps normal, ça ne serait jamais arrivĂ©. Elle Ă©tait beaucoup trop forte."Pour cette trentenaire parisienne dynamique, ancienne infirmiĂšre libĂ©rale qui travaille aujourdâhui dans la communication, sâoccuper de sa grand-mĂšre vieillissante nâa jamais Ă©tĂ© un sacerdoce. Elle connaissait les mĂ©dicaments, les gestes qui soulagent, lâesprit qui sâabsente et la fragilitĂ© du corps ĂągĂ©, qui violace, croĂ»te. Surtout, elle apprĂ©hendait lâidĂ©e de confier Elise Ă une maison de retraite "En tant que soignante, je sais quâil peut y avoir des dysfonctionnements lors de la prise en charge. A partir du moment oĂč tu mets les mains sur quelquâun, elles peuvent soigner ou faire mal. LĂ , on habitait Ă une centaine de kilomĂštres. Sâil y avait eu de la maltraitance, jâaurais Ă©tĂ© trop loin pour ĂȘtre capable de la voir."Alors quand Elise a commencĂ© Ă vieillir, Marika sâest adaptĂ©e. Tout doucement, quand sa grand-mĂšre sâest mise Ă oublier ses mĂ©dicaments, que lâincontinence est arrivĂ©e, quâelle nâa plus rĂ©ussi Ă entrer et sortir seule de la douche, que les noms des jours et des lieux se sont peu Ă peu mĂ©langĂ©s, que les chutes nocturnes ont Ă©tĂ© de plus en plus rĂ©guliĂšres, la jeune femme a fait intervenir Ă chaque fois des soignants. Il y a dâabord eu une infirmiĂšre une fois par semaine, puis plusieurs tous les jours, ainsi quâune auxiliaire de vie, toutes les nuits. Pendant cette pĂ©riode, Marika rend visite Ă sa grand-mĂšre une journĂ©e par semaine elle remplit les chĂšques, fait la lessive, les courses ainsi que quelques repas. Et puis un matin, juste aprĂšs le dĂ©part de lâauxiliaire La suite aprĂšs la publicitĂ© "Ma grand-mĂšre est tombĂ©e. Elle est restĂ©e plusieurs heures au sol, coincĂ©e entre la porte dâentrĂ©e et le radiateur, incapable de se relever. Rien que dâimaginer ça, ça me fait physiquement mal. On a appelĂ© les pompiers, ils ont dĂ» casser la fenĂȘtre et la porte pour pouvoir rentrer. Ce jour-lĂ , jâai compris que le dernier rempart avait cĂ©dĂ©. Elle avait 96 ans. Je ne pouvais plus reculer."Ensuite, tout est allĂ© trĂšs vite et Marika a dĂ» se rĂ©soudre "Il a fallu que je lui dise quâelle ne rentrerait pas chez elle. Elle se doutait de ce qui se tramait mais faisait mine de ne pas comprendre. On parlait de 'maison de repos', pas de 'maison de retraite', comme les gens qui ont le cancer mais qui prĂ©fĂšrent dire 'jâai une maladie'. Ăa Ă©tĂ© trĂšs violent pour elle et pour moi. Un jour, jâai craquĂ©, jâai fondu en larmes au pied de son lit. Je lui ai expliquĂ© quâelle resterait lĂ , quâon ne pouvait pas la soigner mieux ailleurs."Un an et demi plus tard, Elise est dĂ©cĂ©dĂ©e aprĂšs avoir fait plusieurs AVC. Aujourdâhui, Marika regrette encore de lâavoir placĂ©e, mais elle ne se sent plus coupable "Chez ma grand-mĂšre, la dĂ©mence est arrivĂ©e relativement vite. Câest horrible, mais ce qui me rassure paradoxalement, câest que ça lâa privĂ©e de tout souvenir. Quelque part, cette dĂ©mence lâa protĂ©gĂ©e dâune fin dont elle nâaurait jamais voulu."Lionel et son pĂšre, rĂ©unis Lionel se souvient trĂšs bien du jour oĂč Jean-Marc, son pĂšre de 80 ans, est arrivĂ© dans son petit Ehpad de Seine-et-Marne. CâĂ©tait un soir de dĂ©cembre 2016, il faisait noir et froid et ce quinquagĂ©naire parisien a eu besoin de dĂ©tourner lâattention. "Avec ma sĆur, je me souviens quâon sâest extasiĂ©s sur des trucs dĂ©biles. 'Regarde papa, tâas vu ? Il y a un ficus ! Il y a mĂȘme un banc !' La vĂ©ritĂ©, câest que le ficus Ă©tait mort depuis longtemps et que moi, jâavais lâimpression dâaccompagner mon pĂšre en taule. Jâai ressenti une Ă©norme culpabilitĂ© Ă ce moment-lĂ . Je trouvais cette fin indigne de lui, tout en rĂ©alisant que je ne voulais pas ça pour moi."Lionel et Jean-Marc sont passĂ©s Ă cĂŽtĂ© lâun de lâautre pendant prĂšs de 30 ans. Le fils a quittĂ© la maison Ă 17 ans pour monter Ă Paris et se lancer dans lâaudiovisuel, le pĂšre, dĂ©pressif, a poursuivi sa vie de cadre supâ divorcĂ©, dans lâEst. Les deux hommes ne se sont presque plus vus. LâannĂ©e derniĂšre, Lionel apprend que Jean-Marc vient dâĂȘtre hospitalisĂ© aprĂšs une intoxication mĂ©dicamenteuse La suite aprĂšs la publicitĂ© "Avec mon pĂšre, on a eu une non-relation pendant plus de 30 ans. Ce problĂšme de santĂ©, ça a Ă©tĂ© violent pour moi parce quâhonnĂȘtement, je nâavais plus trop envie de le voir. On Ă©tait ni fĂąchĂ©s ni proches, notre rapport Ă©tait juste mĂ©diocre."Pourtant, Lionel ne ferme pas les yeux. Sa sĆur le sollicite. Il "prend ses responsabilitĂ©s" et se rend Ă lâhĂŽpital. Rapidement, le fils prend la mesure de la situation. Son pĂšre a un problĂšme de santĂ© ennuyeux, des dettes et des mĂ©decins qui expliquent quâil ne peut plus vivre seul. Lionel a un dĂ©clic "A ce moment-lĂ , câest comme si jâĂ©tais entrĂ© dans les couloirs du temps. Jâai mis une carapace et je me suis attaquĂ© Ă tous ses problĂšmes. Je suis devenu le pĂšre de mon pĂšre, tout en redevenant aussi son fils. MalgrĂ© notre non-relation, le lien quâon avait sâest imposĂ© Ă moi de maniĂšre Ă©vidente. Quand je me suis retrouvĂ© dans sa chambre, on a eu un fou rire dĂšs les premiĂšres minutes."Quelques temps plus tard, Lionel trouve une place en Ehpad pour Jean-Marc et prĂ©voit le dĂ©mĂ©nagement. "Rapprochement familial", dit le fils. "Jâaime bien la Seine-et-Marne", dit le pĂšre. Depuis, Lionel lui rend visite environ trois fois par mois. Il prend le train, vient avec des vĂȘtements, des livres et des bonnes nouvelles "On a vendu son appartement et Ă©pongĂ© ses dettes. Maintenant, Ă chaque fois que jây vais, je lui amĂšne des bouquins que jâaime parce quâon n'en a jamais parlĂ©. Si ça se trouve, il est les a dĂ©jĂ lus, mais jâaime bien le tester. On ne peut pas rattraper le temps perdu, mais maintenant, il sait quâil nâest plus seul."Lionel lui a achetĂ© un portable avec des grosses touches, il lui apprend Ă aller sur internet. Le lien filial sâest suite aprĂšs la publicitĂ© Des deuils Ă faire Audrey Grillet est psychologue clinicienne dans un Ehpad situĂ© au sud de Paris. Quand on lui demande dâoĂč vient la culpabilitĂ© liĂ©e au placement, elle rĂ©pond "On se dit 'Mes parents mâont Ă©levĂ©, mâont aidĂ© Ă grandir, mâont offert un toit et des Ă©tudes, je ne peux pas les abandonner.'Confier un pĂšre ou une mĂšre Ă une maison de retraite, câest une source de culpabilitĂ© en ce que cela renvoie Ă son propre Ă©chec, sa propre incapacitĂ© Ă sâoccuper soi-mĂȘme de son le placement induit un certain nombre de deuils Ă faire, parmi lesquels celui de lâimage du parent tel quâil Ă©tait avant."Comment rĂ©duire la dose de culpabilitĂ© ? Audrey Grillet avance une piste de rĂ©flexion "L'idĂ©al, c'est que ce soit le rĂ©sident lui-mĂȘme qui dĂ©cide de son entrĂ©e. Il faudrait que ce soit lui qui regarde les Ă©tablissements, les visite, rencontre les membres du personnel. Sur les 81 rĂ©sidents dont je m'occupe, c'est le cas d'Ă peine cinq personnes."
Illustration sur la fin de vie Flickr/Tim Hamilton/CC Ma mĂšre est entrĂ©e en Ehpad, Ă©tablissement d'hĂ©bergement pour personnes ĂągĂ©es dĂ©pendantes, Ă 98 ans. Elle est morte Ă 101 ans, aprĂšs six semaines grabataire en fin de vie. Elle criait son dĂ©sir de mourir et de rejoindre son mari Elle nâĂ©tait pas malade autrement que fatiguĂ©e par la vie. Ă tel point qu'une chute sur le carrelage l'a amenĂ©e Ă l'hĂŽpital Ă 98 ans, pour fractures le haut du bras et la hanche. Elle n'a cessĂ©, tout le long du trajet avec les pompiers, et ensuite pendant la longue attente aux urgences 5 heures, oĂč je l'avais retrouvĂ©e, puis avant l'opĂ©ration une longue demi-journĂ©e de souffrances, avec 8 heures d'anesthĂ©sie !, de crier son dĂ©sir de mourir et de rejoindre son mari bien aimĂ© au cimetiĂšre. Il Ă©tait mort Ă 99 ans, trois ans auparavant. Il a Ă©tĂ© prolongĂ© 18 mois par l'hĂŽpital pour terminer sa vie dans un Ă©tat lamentable plus de mĂ©moire, qu'il refusait pourtant haut et fort depuis toujours. Il avait prĂ©vu le suicide par arme Ă feu mais n'en a pas eu le courage, Ă cause de sa femme, qui aurait mal vĂ©cu ce fait. Ils se sont aimĂ©s 74 ans. Ils auraient voulu mourir ensemble, mais faute de le faire exprĂšs, cela ne s'est pas fait, la nature ne l'a pas voulu. Ma mĂšre a vĂ©cu seule pour la premiĂšre fois de sa vie Ă 94 ans. Pas facile. Les mĂ©decins en ont fait ce qu'elle ne voulait pas devenir AprĂšs une opĂ©ration rĂ©ussie, puis un choc opĂ©ratoire qui a failli l'emporter, comme elle le souhaitait, les mĂ©decins se sont acharnĂ©s Ă la "sauver" pour en faire ce qu'elle ne voulait pas devenir un ĂȘtre totalement dĂ©pendante, sans mĂ©moire immĂ©diate, incapable de se gĂ©rer. Elle nâa pas eu de rééducation pour rĂ©apprendre Ă marcher trop vieille pour mĂ©riter un kinĂ©, mais pas trop pour attraper un Ă©norme escarre... On l'a laissĂ©e vĂ©gĂ©ter sur un lit pendant un mois, sans matelas anti-escarres, avant de l'envoyer en rééducation, oĂč le kinĂ© s'est avĂ©rĂ© malade et non remplacĂ© au bout d'une semaine ! Donc rien. Le mĂ©decin a estimĂ© qu'elle ne savait plus ce qu'elle disait lorsqu'elle voulait mourir, qu'elle refusait tous les traitements, mĂȘme lorsqu'elle arrachait tous les tuyaux auxquels elle Ă©tait attachĂ©e pour la maintenir en vie on est allĂ© jusqu'Ă l'attacher Ă son lit pour l'en empĂȘcher ! Pas de morphine contre la douleur, puisqu'il est normal que des fractures vous fassent souffrir. L'enfer sur terre pour elle, Ă cause d'un mĂ©decin inhumain. Et pour nous, ses enfants, impuissants, malgrĂ© mes rĂ©clamations. Mais ma mĂšre n'avait alors rien Ă©crit de ses volontĂ©s, d'une Ă©poque oĂč la parole Ă©tait d'or. Elle ne concevait pas qu'on puisse ne pas l'Ă©couter. AprĂšs un mois de sĂ©jour en rééducation non faite, je me suis occupĂ©e d'elle chez elle et ai enfin pu la faire soigner par un kinĂ©, pour qu'elle retrouve une certaine autonomie pour bouger s'assoir, se lever, marcher avec un dĂ©ambulateur. J'espĂ©rais que la mĂ©moire reviendrait, mais elle n'est jamais revenue suffisamment pour lui permettre l'autonomie chez elle. Elle ne voulait pas de suicide elle est allĂ©e en Ehpad Elle s'est rĂ©signĂ©e Ă aller dans l'Ehpad de sa ville, qu'elle ne voulait quitter pour rien au monde. Elle ne voulait pas du suicide qui la ferait aller en enfer, comme son curĂ© lui avait appris dans son enfance, mais elle aurait voulu que les mĂ©decins la laissent mourir tranquille et l'aident Ă dormir en attendant. Impossible Ă rĂ©aliser. Donc ma mĂšre est entrĂ©e Ă l'Ehpad. Bien quâĂ©tant sa "personne de confiance" dĂ©signĂ©e, je n'ai jamais rĂ©ussi Ă ĂȘtre informĂ©e des visites de son mĂ©decin. J'essaye d'aller discuter avec ce mĂ©decin, je lui Ă©cris une lettre pour lui raconter la vie de ma mĂšre, qu'elle ne connait pas. Mais Ă part sa proposition de ne pas s'acharner, c'est tout ce que j'obtiens, du bout des lĂšvres. Pourtant, point positif pour l'Ehpad, Ă leur demande, ma mĂšre a enfin Ă©crit ses directives anticipĂ©es Ă son entrĂ©e ni souffrances ni acharnement en fin de vie, pas de branchement Ă des machines. Son seul souhait qu'on la laisse mourir sans souffrir, le plus vite possible. On la laissait toute la journĂ©e sur une chaise Elle n'est pas perdue, elle frĂ©quente la maison depuis 50 ans et s'y retrouve sans difficultĂ©s malgrĂ© sa mĂ©moire flĂ©chissante. Elle apprĂ©cie les animations, bien qu'elle ne comprenne plus rien, sauf la musique. Mais elle aime la compagnie et les fĂȘtes, les visites des anciens voisins et connaissances ses amis sont morts depuis bien longtemps, avant elle. Cela dure deux ans, puis son Ă©tat se dĂ©grade infections Ă rĂ©pĂ©titions⊠L'Ehpad n'est pas propre, les conditions d'hygiĂšne sont souvent douteuses, avec de nombreuses Ă©pidĂ©mies de diarrhĂ©es, de gale, etc. Le mĂ©nage est fait une fois par semaine, le vendredi, pour les visites prĂ©vues du week-end. Pour que les visiteurs ne se rendent pas compte de la saletĂ© ? Elle fait des chutes rĂ©pĂ©tĂ©es personne ne surveille ses dĂ©placements qui l'affaiblissent, bien qu'elle limite les dĂ©gĂąts des bleus et Ă©corchures, bien soignĂ©s par les infirmiĂšres. Pour la surveiller et Ă©viter les chutes non vues, elle ne passe plus les journĂ©es Ă sa guise dans sa chambre ou aux animations, on la pose toute la journĂ©e sur une chaise fauteuil de bridge dont elle ne peut pas bouger seule. On voulait la mettre sous machine, contrairement Ă ses directives On la mĂšne Ă la salle Ă manger en fauteuil roulant, et elle commence Ă refuser de manger. Elle sait qu'elle arrive Ă sa fin, et elle n'a aucun appĂ©tit. DiarrhĂ©e infectieuse qui ne guĂ©rit plus, des reins qui fonctionnent mal, parait-il, mais faute de temps pour lui donner Ă boire sauf aux repas quatre fois par jour, faute d'imagination â et d'argent ? â on ne lui propose que l'eau qui traĂźne sur sa table toute la journĂ©e, qu'elle dĂ©teste, et dont elle ne peut pas se servir, devenue grabataire il faut lui mettre le verre dans les mains pour qu'elle puisse boire. On m'appelle lorsque son Ă©tat a dĂ©jĂ bien empirĂ©. On veut la mettre sous machine, contrairement Ă ce qu'elle a Ă©crit dans ses directives pas de machines ! Je refuse, comme elle le souhaitait mais demande Ă ce qu'on lui donne Ă boire toutes les heures, des boissons goĂ»teuses qu'elle apprĂ©cie beaucoup jus de pomme, d'ananas, sirops, thĂ©s, cafĂ©, elle a soif et boit trĂšs volontiers. Impossible, je dois aller passer mes journĂ©es avec elle et lui donner Ă boire, acheter les jus de fruits, sinon, elle n'a rien. Pour son mĂ©decin, ma mĂšre n'Ă©tait pas en fin de vie... Ă mes rĂ©clamations, le directeur de l'Ehpad prĂ©tend que je mens. Pourtant, le personnel m'encourage Ă porter plainte. Elles trĂšs peu d'hommes en ont ras-le-bol de ne pas pouvoir faire le travail comme il faudrait, avec humanitĂ©, faute de temps et de personnel. Elles courent sans arrĂȘt. On me rĂ©pond que c'est mon refus d'hospitalisation qui est cause de problĂšmes l'habitude est de brancher les vieux Ă des machines qui prolongent leur vie sous prĂ©texte de diminution de souffrances. Ma mĂšre avait les bras trĂšs abĂźmĂ©s par les multiples prises de sang pour analyses. PiquĂ©e de partout, car Ă force on ne trouve plus les veines... Une honte ! Pour son mĂ©decin, cinq semaines avant sa mort, Ă 101 ans, ma mĂšre n'Ă©tait pas en fin de vie. Et il paraĂźt que ce docteur avait eu une formation en soins palliatifs... C'est long de regarder l'autre mourir Ă petit feu Par chance, ma mĂšre s'est endormie un soir et ne s'est pas rĂ©veillĂ©e. Pas d'agonie, pas de rĂąle agonique, tant mieux. Mais c'est long de regarder l'autre mourir Ă petit feu, conscient et malheureux de sa dĂ©gradation, sans qu'on cesse les mĂ©dicaments et sans sĂ©dation... C'est dur aussi de ne ressentir Ă sa mort que du soulagement. Ce qui me faisait de la peine, câĂ©tait de la voir survivre dans cet Ă©tat lamentable, pas sa mort. Elle avait bien vĂ©cu, Ă un Ăąge avancĂ©. Que dĂ©sirer de plus ? Le respect de ses volontĂ©s pour sa fin de vie et sa mort. Car elle n'a pas Ă©tĂ© respectĂ©e par les soignants.
Souplesse & mal de dos quel rapport? Des muscles du dos souples et en bon Ă©tat de fonctionnement permettent Ă la colonne vertĂ©brale dâeffectuer tous les mouvements de la vie quotidienne sans lui imposer dâefforts, de contraintes ou de frictions inutiles. Le manque de souplesse au niveau de la colonne vertĂ©brale est une cause frĂ©quente de mal de dos, consĂ©quence logique du manque de mobilitĂ© Ă©tendu sur des pĂ©riodes prolongĂ©es notamment au travail ou pour les seniors, tout simplement Ă cause du vieillissement.Les muscles du dos sont faits pour travailler et non pas pour rester sans rien faire, et on serait surpris du peu de temps quâil faut parfois pour recommencer Ă faire fonctionner un groupe de muscles restĂ© inactifs durant de longs mois. La souplesse au niveau des lombaires et de la colonne vertĂ©brale est lâune de meilleures prĂ©ventions contre le mal de dos musculaire et dans cette vidĂ©o, Julie nous propose 5 Ă©tirements Ă faire le matin Ă la maison pour garder un dos souple et rester en forme jour aprĂšs sĂ©rie dâexercices dure 4 minutes en tout et chaque Ă©tirement doit ĂȘtre exĂ©cutĂ© pendant 30 secondes. Voir la sĂ©rie dâexercices pour assouplir le dos en vidĂ©o A lire aussi Plus dâĂ©tirements pour le matin Etirements lombaires â Posture char-vache Mise en gardeCes exercices dâassouplissement du dos font travailler les muscles profonds du bas du dos, de la colonne vertĂ©brale, de lâarriĂšre des cuisses jusquâau vous invite Ă vous assurer que vous pouvez pratiquer ces Ă©tirements du dos sans danger si vous avez des problĂšmes de dos prĂ©occupants, ces exercices peuvent faire plus de mal que de bien. Faites les en connaissance de cause. Assouplissement du dos 1 Le Toucher des mollets assis Cet Ă©tirement du dos est efficace pour assouplir les lombaires, les muscles ischio-jambiers et dĂ©tendre le bas du dos. Position de dĂ©part Assis au sol, jambes tendues au maximum. Bien faire attention Ă ne pas lever les Ă©paules pendant quâon garde le dos arrondi durant lâĂ©tirement. Placer les mains au niveau des mollets et arrondir le jambes doivent rester bien tendues pendant toute la durĂ©e de lâĂ©tirement du essaie de rapprocher les mains le plus prĂšs possible des pieds sans plier les jambes et en gardant le dos les orteils vers soi pour un Ă©tirement du dos ne bloque pas sa respiration, on respire profondĂ©mentMaintenir lâĂ©tirement pendant 30 secondes SeniorsCet Ă©tirement peut ĂȘtre effectuĂ© en restant assis sur votre lit si le matelas nâest pas trop mou. Retrouvez Julie 5 Ă©tirements pour le dos dans lâEbook Bien plus quâun simple PDF, peu adaptĂ© Ă la consultation de contenu sur Smartphone, ce livre Ă©lectronique au format EPUB contient vous explique en dĂ©tail et en vidĂ©o, 5 Ă©tirements pour le dos Ă faire le matin, pendant 5 minutes, pour avoir un dos souple, se prĂ©munir du mal de dos et ĂȘtre en forme toute la journĂ©e. Assouplissement du dos 2 Etirement des muscles fessiers Position de dĂ©part couchĂ© au sol, on prends lâarriĂšre de la cuisse entre les mains et on ramĂšne le genou vers soi. Cet Ă©tirement du dos est Ă©galement efficace pour soulager une sciatique. Tirer le genou vers soi afin de ressentir lâĂ©tirement dans le muscle plus de confort, vous pouvez placer une serviette repliĂ©e ou roulĂ©e sous votre inspirer, expirer profondĂ©ment et essayer de se lâĂ©tirement pendant 30 secondes et changer de cĂŽtĂ©. Assouplissement du dos 3 Torse et jambes inversĂ©es Position de dĂ©part couchĂ© au sol, les jambes sont repliĂ©es et le torse est tournĂ© dans la direction opposĂ©e pour former un angle de 90 * par rapport au bassin. Les genoux ne doivent pas forcĂ©ment toucher le sol en dĂ©but dâexercice le but de cet Ă©tirment du dos est de gagner en souplesse et de parvenir Ă garder les genoux au sol avec la pratique et le temps. Les Ă©paules doivent coller au sol durant toue la durĂ©e de lâ tĂȘte est tournĂ©e dans la direction opposĂ©e par rapport aux inspirer, expirer profondĂ©ment et essayer de se lâĂ©tirement pendant 30 secondes et changer de cĂŽtĂ©. Assouplissement du dos 4 Posture du cobra Position de dĂ©part Ă plat ventre on replie les coudes Ă angle droit et on pousse sur le sol avec les mains pour redresser le haut du corps et cambrer le dos au maximum. Ne pas forcer pour y arriver, celĂ viendra avec le temps un Ă©tirement du dos doit rester relativement confortable pour ĂȘtre efficace.. Câest la durĂ©e de lâĂ©tirement et sa rĂ©pĂ©tition qui comptent, plus que son intensitĂ©. Les yeux doivent fixer le plafond durant toute la durĂ©e de lâĂ©tiremen ce nâest pas la tĂȘte qui doit partir en arriĂšre, câest le menton qui doit pointer vers le plafond. Assouplissement du dos 5 Posture de la coquille Position de dĂ©part assis sur les talons, bras pliĂ©s, mains Ă plat sur le sol. Lors de cet Ă©tirement du dos, la respiration est un peu compliquĂ©e Ă©tant donnĂ© quâon presse la cage thoracique contre les genoux essayez de respirer le plus profondĂ©ment possible, ça ne dure que 30 secondes On arrondi le haut du dos et le bas du dos le plus quâon les mains, on pousse par terre et un peu vers lâavant pour tenter de coller la poitrine contre les genoux au maximum et on maintient la position pendant 30 secondesLes Ă©paules doivent Ă©galement rester arrondies le plus possible durant lâexercice. Si vous souhaitez travailler la souplesse au niveau du dos de maniĂšre un peu plus intensive, vous pouvez rĂ©pĂ©ter cette sĂ©rie dâexercices non seulement le matin mais plusieurs fois en cours de journĂ©e; afin dâaugmenter votre mobilitĂ©.
Au dĂ©cĂšs de votre conjoint ou ex-conjoint d'un mariage, vous pouvez bĂ©nĂ©ficier d'une partie de sa pension de retraite proratisĂ©e selon la durĂ©e de votre mariage si votre ex-conjoint s'est remariĂ©. Mais ce dispositif n'est pas valable Ă vie. Certaines situations revenus du couple, remariage peuvent vous conduire Ă la savoir cet article concerne les rĂšgles de rĂ©version actuelle et non celles de la rĂ©forme des retraites suspendue en raison de la crise sanitaire. Retrouvez les rĂšgles qui conditionne l'attribution de la pension de situation de famille a changĂ© Vos revenus ont augmentĂ© car vous ĂȘtes dĂ©sormais en coupleVivre en couple implique que les revenus du foyer augmentent. Dans la majoritĂ© des rĂ©gimes de base, pour toucher une pension de rĂ©versionPension de rĂ©versionAttribution, sous certaines conditions, au conjoint d'un assurĂ© dĂ©cĂ©dĂ© avant ou aprĂšs son dĂ©part en retraite d'une partie de sa pension de retraite. La pension de rĂ©version est fonction des ressources du conjoint survivant dans le rĂ©gime gĂ©nĂ©ral des salariĂ©s et les rĂ©gimes alignĂ©s. , les revenus du foyer doivent ĂȘtre infĂ©rieurs Ă 21 985,60 ⏠⏠brut par an 1 832,13 ⏠par mois et 35 176,96 ⏠⏠brut par an si vous vivez avec quelqu'un conjoint, partenaire de PACS ou concubin. La pension de rĂ©version de base que vous touchez peut ĂȘtre rĂ©duite voire supprimĂ©e au motif que les revenus du foyer dĂ©passent ces plafonds. Vous trouverez dans cet article les revenus qui sont pris en compte pour l'attribution de la pension de savoir cette condition ne s'applique pas si votre conjoint Ă©tait agent de la fonction publique ou avocat, que ce soit pour sa retraite de base ou complĂ©mentaire ;pour les retraites complĂ©mentaires des autres rĂ©gimes sauf celui des indĂ©pendants.Vous vous ĂȘtes remariĂ©eEst-ce que vous perdez la pension de rĂ©version de votre ancien conjoint si vous vous remariez / ĂȘtes remariĂ© ? Oui et non, cela diffĂšre selon le statut du dĂ©funt. De mĂȘme, dans la majoritĂ© des rĂ©gimes, le Pacs ne fait pas perdre le bĂ©nĂ©fice de la rĂ©version, sauf dans le rĂ©gime de la fonction dans cet article les consĂ©quences d'un remariage sur votre pension de rĂ©version selon les rĂ©gimes de noter vous devez informer toutes les caisses concernĂ©es de tout changement dans votre situation personnelle, au risque de vous voir rĂ©clamer des sommes 1Virginie Ă©tait mariĂ©e pendant 10 ans Ă Patrick, relevant de la MSA. Il aurait dĂ» percevoir 1 100 ⏠de retraite de base et 800 ⏠de retraite complĂ©mentaire. DĂ©sormais divorcĂ©e, elle vit avec JĂ©rĂŽme. Ă eux deux, ils gagnent 35 000 ⏠brut par dĂ©cĂšs de Patrick, peut-elle rĂ©cupĂ©rer la pension de rĂ©version de son ex-mari ? Pour la pension de base de Patrick, comme les revenus du couple sont supĂ©rieurs Ă ce que la MSA autorise, elle n'a le droit Ă rien. En revanche, elle percevra la rĂ©version de sa retraite complĂ©mentaire 54 % de 800 ⏠soit 432 âŹ. Si elle se marie avec JĂ©rĂŽme, elle perdra cette somme. Exemple 2Alain Ă©tait encore salariĂ© quand sa femme Louisa, elle-aussi salariĂ©e, est dĂ©cĂ©dĂ©e en dĂ©cembre 2018. Elle aurait dĂ» toucher chaque mois 800 ⏠de retraite de base et 300 ⏠de retraite complĂ©mentaire. Alain touchait alors 28 000 ⏠par an. Il ne pouvait pas prĂ©tendre Ă la pension de rĂ©version de base de sa femme mais pouvait toucher 180 ⏠60 % de 300 ⏠au titre de la retraite en retraite, Alain ne gagne plus que 1 512 ⏠par mois. AdditionnĂ©e Ă la pension de rĂ©version Ă laquelle il peut prĂ©tendre 54 % de 800 ⏠soit 432 âŹ, sa pension dĂ©passe le plafond autorisĂ© de 184,67 ⏠1 944 âŹ-1 759,33 âŹ. La pension de rĂ©version au rĂ©gime de base sera diminuĂ©e d'autant pour arriver jusqu'au plafond et il lui sera versĂ© 432 âŹ-184,67 ⏠= 247,33 âŹ. Il touchera Ă©galement une pension de rĂ©version de la retraite complĂ©mentaire de Louisa de 180 âŹ.Il percevra au total une pension de rĂ©version de 180 + 247,33 ⏠= 427,33 âŹ.
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